MAY , leadership et innovation, pour une Afrique tourné vers avenir ambitieux



 Aujourd’hui , c’est avec une intensité palpable et une maîtrise stratégique indéniable que le ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale de la République de Djibouti, S.E. Mohamoud Ali Youssouf, continue de poser les jalons de sa candidature à la présidence de la Commission de l’Union Africaine (UA). Depuis Addis-Abeba, capitale diplomatique du continent, ce dernier s’impose comme le chef de file d’une Afrique ambitieuse et réformatrice, portée par un leadership djiboutien en pleine ascension.



Dans le cadre prestigieux de l’ambassade de Djibouti à Addis-Abeba, S.E. Mohamoud Ali Youssouf a orchestré une série de rencontres d’une ampleur inédite, réunissant les grands partenaires bilatéraux et multilatéraux de l’Union Africaine. L’assistance, qui ressemblait à un véritable « G20 africain élargi », a compté les représentants de puissances globales comme les États-Unis, la Chine, l’Union Européenne, ou encore la Russie, aux côtés des acteurs émergents tels que l’Inde, la Turquie ou le Brésil.


Accompagné d’une équipe comprenant S.E. Abdi M. Eybe, ambassadeur en Éthiopie, Mme Fathia Djama Oudine, conseillère du président de la république  , et S.E. Mohamed Idriss Farah et S.E. Guelleh Idriss Omar, ambassadeurs , notre candidat   a déployé son argumentaire, convaincant par son pragmatisme et sa vision résolument panafricaine.



S.E. Mohamoud Ali Youssouf ne se contente pas de surfer sur les promesses consensuelles de l’agenda 2063. Au contraire, il propose un renouvellement audacieux de la méthodologie : une refonte des mécanismes de gouvernance, le renforcement de la synergie entre les États membres et un investissement accru dans des secteurs stratégiques tels que la sécurité numérique, la transition énergétique et l’intelligence artificielle.



Mais c’est sur les terrains historiques de la paix et de la sécurité que le ministre-candidat a brillamment articulé son discours. Pour un continent trop souvent pris dans l’étau des conflits, Mohamoud Ali Youssouf plaide pour des approches plus inclusives, réconciliant innovation technologique et résilience institutionnelle.




Dans une démonstration de diplomatie subtile,  S.E. Mohamoud a également initié un dialogue inédit avec les ambassadeurs du Mali, du Burkina Faso et du Soudan , trois États suspendus de l’UA dans le sillage des crises politiques. Loin de céder à la polarisation, S.E. Mohamoud Ali Youssouf a opté pour une approche d’écoute constructive, explorant des solutions conformes aux principes de l’organisation tout en réaffirmant son attachement à une Afrique inclusive.


Outre les acteurs étatiques, le numéro un de la diplomatie djiboutienne a pris soin de rencontrer les représentants du personnel de la Commission de l’UA. Cet échange, jugé stratégique, lui a permis de recueillir les attentes et préoccupations de ceux qui font vivre l’institution au quotidien. Un geste qui traduit son engagement à placer l’humain au cœur de son mandat.



Sous la houlette de Mohamoud Ali Youssouf, Djibouti démontre une fois de plus sa capacité à transcender son poids démographique pour occuper une place centrale sur l’échiquier africain. Portée par un leadership clairvoyant et une diplomatie audacieuse, la candidature djiboutienne se positionne désormais comme un modèle d’équilibre entre modernité et ancrage dans les valeurs panafricaines.




Enfin, , pour Mohamoud Ali Youssouf , cette candidature est bien plus qu’une ambition ; c’est un pari sur l’avenir du continent, un avenir où chaque État, aussi modeste soit-il, a un rôle clé à jouer dans la construction de l’Afrique de demain.


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